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samedi 29 mai 2010

Mark Zuckerberg a fondé « The Facebook », initialement à l'adresse thefacebook.com, le 4 février 2004[10]. L'inscription a d'abord été limitée aux étudiants de l'université Harvard et dès le premier mois, plus de la moitié de la population undergraduate de l'université Harvard était inscrite sur le service[11]. Eduardo Saverin (aspect commercial), Dustin Moskovitz (programmeur), Andrew McCollum (graphiste), et Chris Hughes ont rejoint Zuckerberg pour l'aider à promouvoir le site. En mars 2004, Facebook s'est élargi aux universités Stanford, Columbia et Yale[12]. Cette expansion a continué avec l'ouverture de Facebook à l'Ivy League et aux écoles de la région de Boston et, progressivement, à la plupart des universités au Canada et aux États-Unis[13]. En juin 2004, Facebook a déplacé sa base à Palo Alto, en Californie[12].






Le siège social de Facebook, à Palo AltoLa société a enlevé la particule The de son nom après l'achat du nom de domaine facebook.com en 2005 pour 200 000 dollars[14]. Facebook a lancé une version pour les écoles secondaires en septembre 2005 qui, pour Zuckerberg, était la prochaine étape logique[15]. À cette époque, pour rejoindre le réseau d'une école secondaire, il fallait une invitation[16]. Facebook a ensuite élargi ses membres aux employés de plusieurs sociétés, dont Microsoft et Apple Inc.[17]. Facebook a enfin été ouvert le 26 septembre 2006 à toutes les tranches d'âge à partir de 13 ans avec une adresse électronique valide[18],[19]. En octobre 2008, Facebook a annoncé que le site allait établir son siège international à Dublin, en Irlande[20].



En 2009, Facebook a introduit une fonction de micro-blogging. D'après Le Monde, cette nouveauté vise à ne pas se laisser prendre des parts de marché par son concurrent Twitter, qui bénéficie d'une bonne couverture médiatique[21].



À noter la sortie le 21 janvier 2010, d'un livre (non-officiel) retraçant l'histoire de la naissance de Facebook, depuis l'université de Harvard en 2003, jusqu'au courant de l'année 2009[22]. De plus, une adaptation cinéma de ce livre, par David Fincher, est en cours de production et annoncée sur les écrans en fin d'année 2010[23].



Fonctionnement

Comme application de réseau social, Facebook permet à ses utilisateurs d'entrer des informations personnelles et d'interagir avec d'autres utilisateurs. Les informations susceptibles d'être mises à disposition du réseau concernent l'état civil, les études et les centres d'intérêt. Ces informations permettent de retrouver des utilisateurs partageant les mêmes intérêts. Ces derniers peuvent former des groupes et y inviter d'autres personnes. Les interactions entre membres incluent le partage de correspondance et de documents multimédias.



Le 13 août 2007, une partie du code source de la page d’index du site a été piratée et publiée sur Internet[24].



Le pare-feu de certaines sociétés et écoles empêchent les employés et les élèves d'utiliser Facebook. Beaucoup d'écoles et de sociétés ont bloqué l'accès à cette page. Cependant, la plupart des entreprises et des écoles ne bloquent pas le trafic sur le port 443 (HTTPS), ainsi il est toujours possible de se connecter au service.



Usages

Facebook propose à ses utilisateurs des fonctionnalités optionnelles appelées « applications », représentées par de petites boîtes superposées sur plusieurs colonnes qui apparaissent à l’affichage de la page de profil de l'utilisateur. Ces applications modifient la page de l'utilisateur et lui permettent de présenter ou échanger des informations aux personnes qui visiteraient sa page. L'utilisateur trouvera par exemple :



une liste de ses amis ;

une liste des amis qu'il a en commun avec d’autres amis ;

une liste des réseaux auxquels l'utilisateur et ses amis appartiennent ;

une liste des groupes auxquels l'utilisateur appartient ;

une boîte pour accéder aux photos associées au compte de l'utilisateur ;

un « mini-feed » résumant les derniers événements concernant l'utilisateur ou ses amis, sur Facebook ;

un « mur » (wall, en anglais) permettant aux amis de l'utilisateur de laisser de petits messages auxquels l'utilisateur peut répondre.

Par ailleurs une fonction « chat », disponible depuis avril 2008, permet de signaler à ses amis sa présence en ligne et, si nécessaire, de pouvoir discuter dans un « salon » privé (l'application ne permettant pas, pour le moment, de réunir plus de deux personnes dans un même salon). Depuis février 2010, le chat de Facebook est basé sur le protocole XMPP, afin de permettre aux utilisateurs de s’y connecter avec le client de messagerie instantanée de leur choix[25]. Bien que basé sur un protocole ouvert, le chat reste réservé aux membres de Facebook[26].



Le choix des applications à afficher est laissé à l'utilisateur, qui peut en ajouter après avoir consulté le catalogue, ou bien en supprimer, changer leur agencement sur la page, ou en cacher certaines au public.



Le fait que Facebook soit ouvert aux applications tierces depuis mai 2007[27] a contribué au succès du site. De nombreux concepteurs, débutants ou experts, n'hésitent pas à proposer leurs applications, qu'elles se destinent au web ou à une utilisation locale. Selon Facebook, il existait au 30 novembre 2007 plus de 8 000 applications, officielles ou non officielles. Des outils et des cadres de développements (armature, interface de programmation, exemples de code…) sont proposés aux développeurs afin que ces derniers puissent formater leurs conceptions aux normes de Facebook. Le FBML par exemple, qui constitue le langage de mise en page standard sur Facebook, est un cousin du HTML compréhensible pour le développeur, mais parfois plus ou moins contraignant.



Le 23 juillet 2008, Facebook a présenté les dernières avancées de la plateforme Facebook au cours de sa conférence annuelle f8 des développeurs, appelant ses développeurs, dont le nombre dépasse 400 000, à connecter leurs sites Web à Facebook via Facebook Connect[28].



Controverses

Récolte et vente d'informations personnelles à des entreprises privées

Depuis sa création, Facebook fait l'objet d'une controverse concernant le respect de la vie privée des utilisateurs. Le logiciel utilise en effet les informations personnelles des utilisateurs afin d'introduire des publicités adaptées à leur profil[29] et vend les informations livrées par les utilisateurs à des entreprises privées, comme c'est indiqué dans sa charte concernant la vie privée[30]. Cette charte indique par ailleurs que Facebook peut aller récolter des informations sur les membres à partir de sources extérieures comme les journaux, les blogs et d'autres sources sur Internet[31].



Les informations sur les utilisateurs sont également collectées par Facebook pour améliorer ses bases de données et permettre à ses clients de mieux cibler les publicités, en connaissant les comportements de consommation des utilisateurs de Facebook. Les sites tiers peuvent, grâce à Facebook Social Ads, utiliser les informations amassées par Facebook pour envoyer des publicités ciblées en fonction des différentes caractéristiques des profils[32]. Ceux-ci pouvant par exemple contenir des données sur : la sexualité, le niveau d'études, les opinions politiques, la religion, les emplois occupés [33].



Le contrat passé avec les utilisateurs de Facebook spécifie que toutes les données entrées sur le site (messages, éléments de profils, photos etc.) ont leurs droits concédés sous licence à Facebook qui a le droit de les utiliser pour ses publicités, de les revendre à des tiers, de les sous-licencier. Le 4 février 2009, Facebook a modifié ses conditions d'utilisations et a inventé le principe d'une « licence perpétuelle sur tout le contenu déposé (articles, photos, vidéos...) par un utilisateur, y compris les contenus supprimés[34]. Devant le tollé provoqué, l'entreprise a fait marche arrière deux semaines plus tard[35],[36].



Beacon, le dernier logiciel publicitaire de Facebook en date permet à des sites Internet intégrant un script de Facebook d'envoyer des informations sur les actions d'un membre de Facebook sur leur site (un achat, un jeu, etc.) aux amis Facebook de ce membre, dans leur « newsfeed », ou de mettre ces informations dans son journal sur sa page personnelle[37]. Cette forme de marketing est considérée comme très efficace, car elle passe par les réseaux sociaux et non par l'interpellation directe des personnes par la publicité[38].



Voici un extrait particulièrement significatif des conditions de cession de droits au profit de Facebook :



« vous nous accordez une licence non-exclusive, transférable, sous-licenciable, sans redevance et mondiale pour l'utilisation des contenus de propriété intellectuelle que vous publiez sur Facebook ou en relation à Facebook (« licence de propriété intellectuelle »). Cette licence de propriété intellectuelle se termine lorsque vous supprimez vos contenus de propriété intellectuelle ou votre compte (sauf si votre compte est partagé avec d'autres personnes qui ne l'ont pas supprimé)[39] »



Conséquences de la divulgation de la vie privée

Les informations sur la vie privée publiées sur Facebook peuvent être lues et utilisées par des personnes à qui elles n'étaient pas initialement destinées.



Certaines entreprises utiliseraient Facebook pour collecter des informations sur leurs employés tandis que des recruteurs s'en serviraient pour leur sélection de candidats : « Les recruteurs appuyaient parfois un refus d'embauche sur des détails privés ainsi collectés »[40]. Par ailleurs, certains parents se servent de Facebook pour surveiller la vie de leurs enfants[40].



Les Renseignements généraux puis Direction centrale du renseignement intérieur peuvent aussi collecter des informations et compléter leurs fichiers types EDVIGE. C'est une forme de fichage volontaire. Ce qui lui a donné le surnom d'« Edvige Volontaire ».[réf. nécessaire]



Des logiciels d'analyse de réseaux sociaux permettent cela et bien plus.[1]



Mouvements et instruments pour lutter contre l'invasion de la vie privée

De nombreuses ONG de défense des droits de l'homme et de la vie privée des personnes, comme l'Electronic Frontier Foundation ou Privacy International, s'inquiètent de cette nouvelle manière de récolter des informations sur les internautes et de les utiliser. Elles la considèrent comme d'autant plus pernicieuse qu'elle se met en œuvre avec la parfaite collaboration des utilisateurs de Facebook, qui n'ont pas nécessairement conscience des dangers d'une telle concentration d'informations entre les mains d'une entreprise privée, de leur vente à d'autres entreprises[41], ou de leur mise à disposition aux autorités fédérales américaines à leur demande[42]. Il semblerait également que les employés de Facebook puissent avoir accès aux pages de tous les utilisateurs du service[43].



Fin novembre 2007, un réseau lancé par MoveOn a fait pression pour défendre la vie privée des utilisateurs du site, et a lancé une pétition en ligne[44]. De nombreux groupes se sont créés sur Facebook pour dénoncer ce viol de la vie privée des utilisateurs du site[45].



Le site de MoveOn.org proposait des liens vers une pétition pour mettre un terme au système Beacon, ainsi que vers un site décrivant comment, sur Mozilla Firefox, bloquer Beacon[46] : il faut télécharger l'extension (« addon ») BlockSite et faire une manipulation simple, expliquée sur le site mentionné.



La polémique liée à Beacon : de l'opt-out à l'opt-in

Jeudi 29 novembre 2007, face aux réactions suscitées par ce nouveau système publicitaire et à la menace que l'ampleur croissante du mouvement de protestation représentait pour l'image de l'entreprise, Mark Zukerberg a présenté ses excuses aux utilisateurs de Facebook et a indiqué qu'au lieu du système d'opt-out au cas par cas (à chaque nouvelle intrusion, l'utilisateur de Facebook devait signifier à chaque entreprise qui fonctionnait avec Beacon qu'il ne voulait plus faire partie du système), ce serait aux utilisateurs de décider d'intégrer globalement cette fonction, pour toutes les entreprises internet - « opt-in »[47].



Les données continuent donc à être récoltées, et la vie privée des utilisateurs, donc, à être surveillée, mais celles-ci ne sont exploitées commercialement par Beacon que si les utilisateurs s'inscrivent. Les autres formes de publicité ciblées, elles, demeurent.



Virus

Un virus nommé Koobface utilise le compte Facebook de ses victimes. Il a été découvert en novembre 2008 par l'éditeur McAfee et se propage en envoyant des courriers électroniques aux amis des personnes dont l'ordinateur a été infecté, et si l’utilisateur a la malheureuse idée de télécharger le programme, son ordinateur va être infecté et dirigera ses utilisateurs sur des sites contaminés lors de recherches sur Google, Yahoo ou encore MSN[48].



Interdiction d'accès

En mai 2009, à quelques jours de l'élection présidentielle iranienne, le site a été interdit d'accès en Iran. Une agence de presse proche des réformateurs a déclaré que « Selon certains internautes, le site a été interdit parce que les partisans du candidat Mir-Hossein Mousavi avaient réussi à utiliser Facebook pour mieux faire connaître les positions du candidat »[49].



Depuis novembre 2009, Facebook est également bloqué aux utilisateurs vietnamiens, sur décision du gouvernement local, mais aussi en Chine.[50]



Reut Zukerman

Rue89 dévoile une information émanant du portail d’information israélien MySay.co.il, et reprise par le magazine allemand d’investigation der Spiegel, le portrait d’une jeune femme israélienne, suspectée d’avoir été créée par le Hezbollah, dans le but de soutirer des informations aux soldats israéliens. Reut Zukerman convaincra 200 soldats ou réservistes israéliens de devenir ses « amis », afin de les faire parler. Le site israélien affirme qu’ : "Ils auraient rapporté à leur copine Facebook des noms de soldats, du jargon, des codes secrets et des descriptions détaillées des bases militaires". Les services secrets israéliens utiliseraient également Facebook et Twitter pour recruter des informateurs palestiniens dans la bande de Gaza.[51]



Capital de la société

En octobre 2007, Microsoft a acheté 1,7 % de Facebook pour la somme de 240 millions de dollars, valorisant la société à hauteur d'environ 15 milliards de dollars[52]. Avec environ 60 millions de fiches à cette date cela représente une valorisation d'environ 250 dollars par fiche, mais a permis à Microsoft de devenir l'unique fournisseur de publicités de Facebook[52]. Grâce à cet actionnariat, Microsoft va pouvoir mettre en place son moteur de recherche Bing et ainsi avoir une meilleure exposition aux yeux des internautes afin de concurrencer Google, laissant le marché publicitaire à Facebook.



Statistiques

En France, Facebook aurait attiré 3,6 millions de visiteurs entre 2007 et 2008. En 2008, on observe aussi un nombre croissant d’effacements volontaires de profils[40].



En octobre 2008, Facebook annonce qu’environ 4,1 millions de Français ont leur profil sur le site[53]. En Avril 2010, selon l’outil de ciblage des campagnes publicitaires sur Facebook, près de 9 7 millions de Français sont présents sur le site — plaçant la France dans la liste des premiers pays par utilisateurs du site — soit un taux de pénétration dans la population d'environ 16% %[54].



Selon Médiamétrie, avec plus de 11 millions de visiteurs uniques en décembre, Facebook se classe parmi les vingt sites internet les plus visités en France[55].



Le graphique suivant présente l’évolution du nombre d’utilisateurs (en millions) de Facebook dans le monde, d’après les chiffres donnés dans la salle de presse du site[12].



La courbe ci-dessous retrace l’évolution du nombre de recherches (en unité arbitraire) du mot « Facebook » sur Google, d’après Google Tendances des recherches[56].



Langues

Facebook est actuellement disponible en 70 langues[57].



Les premières traductions à être lancées, en février 2008, sont les versions en espagnol et en allemand.



La version française de France a été mise en ligne le 10 mars 2008[58], alors que la version en français québécois a été lancée le 6 avril 2009[59],[60],[61].



D'autres langues ont également été introduites sur le site ou sont en cours d'introduction, principalement des langues très répandues, mais également des langues régionales (le basque, le catalan)[62] ainsi que dans la langue construite internationale espéranto[62].



Facebook demande aux utilisateurs de son site de contribuer à la traduction de l'interface dans leur langue maternelle. Tout utilisateur du réseau peut proposer une traduction des phrases originales en anglais. Ces propositions de traduction sont ensuite soumises aux internautes qui votent pour la meilleure. Les traductions « officielles » des phrases sont, en définitive, celles ayant été considérées comme les meilleures par les utilisateurs de Facebook.



Notes et références

1.↑ Recrutements chez Facebook : les ambitions de son PDG relativisées [archive] sur ZDNet.fr, 2009. Consulté le 22 avril 2010

2.↑ (en) The World's Billionaires #785 Mark Zuckerberg [archive], Forbes, 3 mai 2008

3.↑ Estimated annual sales

4.↑ Statistiques [archive] sur Facebook.

5.↑ http://www.generation-nt.com/facebook-france-nombre-utilisateurs-15-millions-actualite-941111.html [archive]

6.↑ Carine Salvi, « Sondage exclusif : un Québécois sur 4 est inscrit à Facebook [archive] » sur Branchez-vous!, 10 mars 2008. Consulté le 9 février 2010.

7.↑ Alexa Top 500 Site [archive], consulté le 10 août 2009

8.↑ (en) Facebook to set up international HQ in Dublin [archive], The Irish Times, 3 octobre 2008.

9.↑ (en) Facebook to Establish International Headquarters in Dublin, Ireland [archive], facebook.com, 2 octobre 2008.

10.↑ Seward, Zachary M. : Judge Expresses Skepticism About Facebook Lawsuit [archive], The Wall Street Journal (2007-07-25). Consulté le 2008-04-30.

11.↑ Phillips, Sarah : A brief history of Facebook [archive], The Guardian (2007-07-25). Consulté le 2008-03-07.

12.↑ a, b et c Press Room [archive], Facebook (2007-01-01). Consulté le 2008-03-05.

13.↑ Rosmarin, Rachel : Open Facebook [archive], Forbes (2006-09-11). Consulté le 2008-06-13.

14.↑ Williams, Chris : Facebook wins Manx battle for face-book.com [archive], The Register (2007-10-01). Consulté le 2008-06-13.

15.↑ Dempsey, Laura : Facebook is the go-to Web site for students looking to hook up, Dayton Daily News (2006-08-03).

16.↑ Lerer, Lisa : Why MySpace Doesn't Card [archive], Forbes (2007-01-25). Consulté le 2008-06-13.

17.↑ Lacy, Sarah : Facebook: Opening the Doors Wider [archive], BusinessWeek (2006-09-12). Consulté le 2008-03-09.

18.↑ Abram, Carolyn : Welcome to Facebook, everyone [archive], Facebook (2006-09-26). Consulté le 2008-03-08.

19.↑ Terms of Use [archive], Facebook (2007-11-15). Consulté le 2008-03-05.

20.↑ Press Releases [archive], Facebook (2008-11-30). Consulté le 2008-11-30.

21.↑ Mael Inizan, « Facebook poursuit sa "twitterisation" [archive] » sur Le Monde.fr, 2009. Consulté le 3 juillet 2009

22.↑ Présentation et critique du livre La revanche d'un solitaire sur Paperblog.fr [archive]

23.↑ L'histoire de Facebook adaptée au cinéma par David Fincher, Allociné.com [archive]

24.↑ Le code source de Facebook piraté et publié [archive] TechCrunch.com, 13 août 2007

25.↑ http://blog.facebook.com/blog.php?post=297991732130 [archive]

26.↑ IMtrends, le protocole XMPP serveur-serveur n'est pas implémenté [archive]

27.↑ Facebook s'ouvre aux applications tierces [archive] neteco.com, 25 mai 2007

28.↑ Facebook(R) développe la puissance de sa plateforme sur le Web et dans le monde entier [archive] biz-affaire.com, 24 juillet 2008

29.↑ « Le site Facebook vend le profil de ses internautes aux publicitaires » [archive], Le Monde, 10 novembre 2007.

30.↑ « We may share your information with third parties, including responsible companies with which we have a relationship. »

31.↑ « We may use information about you that we collect from other sources, including but not limited to newspapers and Internet sources such as blogs, instant messaging services and other users of Facebook, to supplement your profile. » Cf. http://www.facebook.com/policy.php [archive]

32.↑ Cf. la page de Facebook consacrée à ce service : http://www.facebook.com/business/?socialads [archive].

33.↑ Pages Information générales, Informations personnelles et Formation et emploi de Facebook le 21-01-2008

34.↑ « Facebook peut utiliser toutes les données : choisissez vos amis ! » [archive], Rue89, 17 février 2009.

35.↑ « Facebook fait machine arrière après la révolte des internautes » [archive], Rue89, 18 février 2009.

36.↑ (fr)Vie privée sur internet : la polémique Facebook [archive], Le Monde, 19.02.2009.

37.↑ Facebook Beacon enables your brand or business to gain access to viral distribution within Facebook. Stories of a user's engagement with your site may be displayed in his or her profile and in News Feed. These stories will act as a word-of-mouth promotion for your business and may be seen by friends who are also likely to be interested in your product. Cf. http://www.facebook.com/policy.php [archive]

38.↑ Cf. les propos de Mark Zukerberg : “Les gens s’influencent mutuellement. Rien ne les influence plus qu’une recommandation d’un ami dans lequel ils ont confiance. La référence de quelqu’un en qui ils ont confiance influence plus les gens que le meilleur message télévisé. C’est le Saint Graal de la publicité.” http://pisani.blog.lemonde.fr/2007/11/30/facebook-fait-volteface-ecoute-les-usagers [archive]

39.↑ Conditions d'utilisation de Facebook [archive]

40.↑ a, b et c Premières déceptions pour les fans de Facebook [archive], article dans Le Figaro, 26 août 2008, page 9

41.↑ Cf. le supplément « Écrans » de Libération, du 20 novembre 2007 : http://www.ecrans.fr/La-vie-privee-sacrifiee-sur-l,2606.html [archive]

42.↑ Un cas de scrutage du profil d'un étudiant postulant à un stage dans une entreprise publique aux États-Unis : http://www.lsus.edu/career/announcements_details.asp?ID=43 [archive]

43.↑ (en) Nick Douglas, « Facebook employees know what profiles you look at », dans Gawker, 27 octobre 2007 [texte intégral [archive] (page consultée le 9 février 2009)]

44.↑ Vie privée : MoveOn.org lance une pétition contre Facebook [archive], vnunet.fr, 22 novembre 2007.

45.↑ Les groupes anglo-saxons : http://www.facebook.com/s.php?q=privacy&k=200000010 [archive] ou français :http://www.facebook.com/s.php?q=vie+priv%C3%A9e&n=-1&k=200000010&init=r [archive]

46.↑ the Idea Shower » » Block Facebook Beacon [archive]

47.↑ (en) Sarah Wheaton, « Facebook Bows to Privacy Protest », dans New York Times, 29 novembre 2007 [texte intégral [archive] (page consultée le 9 février 2009)]

48.↑ http://www.01net.com/editorial/398328/le-virus-koobface-attaque-les-utilisateurs-de-facebook/ [archive]

49.↑ Iran : le site Facebook interdit d'accès [archive] sur JeanMarcMorandini.com. Consulté le 23 mai 2009

50.↑ Giang Nguyen, CNN, « Les utilisateurs de Facebook condamnent le Vietnam qui bloque l’accès au site [archive] », 2009

51.↑ http://www.rue89.com/2010/05/23/lamie-facebook-des-soldats-israeliens-etait-une-espionne-152233 [archive]

52.↑ a et b AFP, « Microsoft investit 240 millions de dollars dans Facebook, valorisé à 15 milliards », 25 octobre 2007 [lire en ligne [archive] (page consultée le 9 février 2009)].

53.↑ Jean-Sébastien Zanchi, « Facebook : 4 millions d’utilisateurs français », dans Infos du Net, 10 octobre 2008 [texte intégral [archive] (page consultée le 9 février 2009)] .

54.↑ (en)Sociabliz Demographer, « Facebook Population [archive] », 2009. Consulté le 9 février 2009.

55.↑ Médiamétrie, « L’audience de l’Internet en France en décembre 2008 [archive] » sur http://www.mediametrie.fr/ [archive], 3 février 2009. Consulté le 13 mars 2009.

56.↑ « Facebook » [archive] sur Google Tendances des recherches.

57.↑ Facebook est disponible à travers le monde en 70 langues [archive] sur Facebook, 2009. Consulté le 27 août 2009

58.↑ Éric Auchard (trad. Claude Chendjou), « Facebook lance une version française de son site », dans Le Nouvel Observateur, 10 mars 2008 [texte intégral [archive] (page consultée le 9 février 2009)] .

59.↑ Une version de Facebook en français du Québec est maintenant disponible [archive] sur Google News, 7 avril 2009, Presse canadienne. Consulté le 8 avril 2009.

60.↑ Marc-André Brouillard, « Facebook en version québécoise [archive] » sur Branchez-vous! [archive], 6 avril 2009, Actualités techno. Consulté le 8 avril 2009.

61.↑ (en) Facebook now available ‘en bon québécois’ [archive] sur CBC News [archive], 7 avril 2009, Société Radio-Canada. Consulté le 8 avril 2009.

62.↑ a et b « Facebook est traduite par ses utilisateurs dans une multitude de langues », dans http://news.yahoo.com/ [archive], 19 avril 2008 [texte intégral [archive] (page consultée
 
 
 
 
 

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